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Aménagement & Architecture

Regards d’architectes sur la recherche en Stic.

Le 1 janvier 2014

Suite de notre découverte des Digiteo Labs, en compagnie de deux de leurs architectes qui témoignent par la même occasion de leur expérience de l’architecture bioclimatique… et scientifique, sur le Plateau de Saclay.

Pour accéder à la première partie de la rencontre avec les architectes des Digiteo Labs, cliquer ici.

– Si vous deviez mettre en avant un des défis posés par la conception des Digiteo Labs, quel serait-il ?

Uli Seher : Chaque projet architectural soulève des défis. Dans le cas des Digiteo Labs, le principal a tenu au fait que le programme urbain dans lequel ils s’inscrivaient n’a cessé d’évoluer. Pendant le concours, les données relatives aux dessertes, par exemple, ont changé à trois reprises. Un jour, le Digiteo Lab de Palaiseau était censé se trouver à proximité d’une station du Métro Grand Paris, une autre fois, ce projet était finalement abandonné ! Bref, si le principe du campus était admis, son urbanisme était tout sauf figé. Précisons que les Digiteo Labs étaient parmi les tout premiers bâtiments du campus à construire. Nous avons en quelques sortes dû être précurseurs.

A quoi s’est ajouté le nombre de maîtres d’ouvrages. Nous n’en avions pas moins de trois ! Le CEA, INRIA et le CNRS, soit les trois organismes de recherche partenaires. Il nous fallait concilier les attentes de ces derniers avec celles de ce que nous appelons les « maîtres d’usages », c’est-à-dire les chercheurs et leurs laboratoires appelés à utiliser les bâtiments. Ces laboratoires étaient, eux, au nombre de six…

Last but not least, le projet portait non pas sur un, mais trois bâtiments, implantés sur autant de sites différents : à Palaiseau, au Moulon et à Saclay. Autant de communes, qui avaient leur propre PLU. Il fallait donc trouver une réponse qui fonctionne dans chacun de ces PLU. Mais, et c’est ce qui nous a convaincus de participer au concours, les trois maîtres d’ouvrage souhaitaient une seule et même typologie pour faire cohabiter toutes les équipes au sein d’un bâtiment et entre les bâtiments.

– Les Digiteo Labs sont vos premiers bâtiments à vocation scientifique. Comment s’est déroulé le dialogue avec ces chercheurs ?

Uli Seher : En effet, hormis l’école construite à Mont-Saint-Aignan pour le compte de l’Assemblée Permanente des Chambres d’Agriculture qui a vocation à former des ingénieurs et le projet de la maison de l’innovation à Montceau-les-Mines, ce sont nos premières réalisations proprement scientifiques. Nous avons donc fait l’expérience du travail de concertation avec des chercheurs. C’est à travers ces échanges que nous avons conçu la notion de maître d’usage. A priori, les chercheurs savent précisément ce dont ils ont besoin. Reste ensuite à s’assurer que leurs attentes entrent dans l’enveloppe budgétaire fixée par le maître d’ouvrage… Cela fait partie aussi du travail de l’architecte. Afin de parvenir à un équilibre entre les attentes, le contexte et les contraintes financières, nous avons naturellement assumé un rôle d’intermédiaires pour ne pas dire de diplomates entre les maîtres d’ouvrage et les maîtres d’usage…

– Quels principes vous ont-ils permis de parvenir à cet équilibre ?

Uli Seher : Rapidement, nous avons eu la conviction de trois enjeux majeurs, qui ont largement dicté la formulation de notre proposition. D’abord, la nécessité de créer une identité forte entre les trois bâtiments : il ne s’agissait pas de faire trois propositions différentes, mais une seule, déclinée en trois endroits avec suffisamment de variation, pour leur donner une personnalité propre. Ensuite, et c’est la valeur ajoutée de notre agence, nous avons proposé un fonctionnement bioclimatique aussi simple que possible, toujours dans cette idée de tenir l’équation économique. J’ajoute que, dans notre esprit, il ne s’agit pas d’une conception simplement technique, mais intégrative, au sens où elle passe aussi par l’adoption de nouveaux usages. Enfin, nous avons été très soucieux de créer les conditions d’une sociabilité au sein de chaque bâtiment, afin de permettre une réelle cohabitation entre des chercheurs qui, quoique sous le même toit, participent à des programmes différents. Cette sociabilité est devenue le principe clé du projet.

– Comment vous y êtes-vous pris pour traduire cette sociabilité sur le plan architectural ?

Uli Seher : En premier lieu, nous avons tenu à apporter un soin particulier aux espaces individuels : a priori, les chercheurs développent leur projet dans leur coin, rechignent à utiliser les salles serveurs, de crainte peut-être qu’on ne leur « pique » leurs idées ! Nous avons pris acte de ce besoin en orientant les bureaux vers l’extérieur, pour leur faire gagner en luminosité naturelle, tout en aménageant le cœur du bâtiment en espaces collectifs (l’atrium, la cafétéria…) qu’ils sont obligés de traverser pour se rendre dans leur bureau. En plus de ces espaces individuels et collectifs, nous avons conçu de nombreux espaces informels. Ils n’étaient pas inscrits dans le programme, ni évalués en termes de m2, mais nous semblaient être des coutures importantes entre les différents laboratoires et les bureaux. C’est dans ces espaces que les chercheurs allaient pouvoir se croiser et échanger. Ainsi, tout en préservant une certaine intimité, nous favorisons des échanges, certes informels, mais qui, comme on le sait, sont souvent décisifs dans le processus de recherche : c’est de la rencontre à l’interface de disciplines que peut surgir l’innovation, et non des discussions entre ultra spécialistes d’un même domaine.

– Est-ce qu’en disant cela, vous aviez en tête « l’effet cafétéria » ou encore cette notion de sérendipité qui fait florès dans les milieux de la recherche et de l’innovation ?

Uli Seher : Oui, d’autant plus que l’idée d’échanges informels a présidé à la création même des Digiteo Labs : la vocation de ces bâtiments est clairement de faire cohabiter des structures à la fois concurrentielles et complémentaires. Un vrai défi, s’il en est, pour l’architecte. Car il s’agit de concevoir des espaces non programmés, pour des usages qu’on ne peut prévoir à l’avance, puisqu’il s’agit d’échanges informels et de rencontres fortuites.

Agnès Bertholon : L’enjeu va au-delà du simple effet cafétéria dans la mesure où les espaces non programmés n’en visent pas moins à favoriser les échanges informels autour de thèmes de recherche, entre chercheurs de différentes disciplines. Le mobilier a été choisi en conséquence : on y trouve des fauteuils confortables, mais aussi un tableau fixé sur le mur pour permettre d’y exposer ses idées, une démonstration, etc. Pas plus qu’il ne s’agit de cafétérias (un espace est dédié à cela), ce ne sont ni tout à fait des bureaux ni tout à fait des salles de réunion.

Uli Seher : Si ces espaces ne figurent pas dans le programme, ils n’en pèsent pas moins sur l’enveloppe financière. Il a donc fallu trouver des solutions pour résoudre l’équation économique. Pour ce faire, nous avons fait notre le slogan publicitaire utilisée dans les années 90 par une marque automobile : « Et si le vrai luxe était l’espace ? ». La publicité montrait des gens tranquillement installés à l’écart d’une foule. En d’autres termes, nous avons renversé la perspective en considérant que ces espaces de sociabilité, quoique non programmés, sont paradoxalement une des solutions de l’équation économique…

– Comment ?

Uli Seher : En devenant une contribution à la ventilation naturelle de nos bâtiments. En effet, l’air aspiré par le hall en d’entrée circule à travers ces espaces informels qui, du même coup, deviennent des espaces techniques. De même, la végétalisation de certains murs ne vise pas simplement à égayer l’ambiance, mais concourt à la régulation de l’hydrométrie du bâtiment. L’ensemble de ces choix contribue à asseoir l’identité des bâtiments. Si ruse il y a eu de notre part, elle a consisté à utiliser l’argent habituellement destiné à l’air conditionné, pour financer le coût de cette qualité spatiale.

– On perçoit bien que la proposition a germé des contraintes des sites et du programme. Dans quelle mesure d’autres bâtiments ont-ils néanmoins servi de références ou de modèles ?

Uli Seher : Les Digiteo Labs sont effectivement nés de contraintes fortes, dont au demeurant nous tenons à faire l’éloge. Le métier d’architecte ne consiste pas en autre chose : créer en fonction de contraintes fixés par le programme, le site et les personnes auxquelles il est destiné, sans oublier l’enveloppe budgétaire. C’est grâce à elles qu’il peut développer une proposition originale !

Cela étant dit, au final, nous avions naturellement des repères et des références en tête, loin de relever toutes de l’architecture moderne. L’atrium est un emprunt à l’architecture antique. Les principes bioclimatiques ne sont pas nouveaux non plus. Ils dictaient déjà la conception des maisons romaines, pour s’en tenir à cette référence. Mais force est de constater qu’ils ont été quelque peu oubliés par l’architecture moderne. Depuis quelques années, on assiste à un regain d’intérêt. Nous-mêmes nous nous sommes associés à un spécialiste, Transsolar, qui avaient plusieurs réalisations à son actif.

Agnès Bertholon : Précisons que l’architecture bioclimatique aboutit à un atrium différent de ceux promus par l’architecture moderne au sens où, comme on l’a vu, les espaces d’échanges qu’elle génère sont aussi des espaces techniques destinés à favoriser la ventilation. Ce qui contribue à singulariser nos trois bâtiments.

Uli Seher : Nos atriums remplissent ainsi une double fonction : à la fois de ventilation et de bien être. Ils sont censés permettre aux chercheurs de se croiser voire les inciter à prendre le temps de se poser. Les chercheurs n’ont pas la même aptitude à travailler dans un collectif : certains arrivent à travailler au milieu de nombreux collègues, dans une grande salle, d’autres préfèrent travailler en petits groupes, dans un coin. Nous espérons que chacun y trouvera son compte.

– Comment procède la ventilation ?

Uli Seher : La ventilation naturelle n’est rien d’autre que l’échange d’air utilisé à différentes fins. Il convient de distinguer :

– la sur-ventilation nocturne : utilisée pendant les grosses chaleurs en été, elle contribue au rafraîchissement du bâtiment. Les plafonds sont conçus en béton pour assurer une inertie thermique : ils restituent le jour la fraîcheur accumulée durant la nuit grâce à la sur-ventilation. Des clapets sont par ailleurs aménagés en façade et à l’entrée de chaque bureau pour assurer la circulation de l’air.

– la ventilation sanitaire, ensuite : elle assure le renouvellement de l’air de chaque espace pour assurer la bonne quantité d’oxygène. Pour cela c’est le volume de l’atrium qui joue un rôle essentiel en hiver. L’air tempéré dans l’atrium contribue donc au renouvellement de l’air sans pour autant perdre des calories du chauffage.

Agnès Bertholon : La ventilation naturelle devient en ce sens un langage architectural. Elle imposait que l’air frais qui entre dans le bâtiment touche directement la matière, et donc de travailler avec du béton brut : grâce à son inertie, il emmagasine la fraîcheur et la restitue avec 5-6 heures de décalage dans la journée. Ainsi, on dispose d’un bâtiment frais quand on y arrive le matin et réchauffé en fin de journée, quand on le quitte.

Mais au-delà des solutions techniques, l’architecture bioclimatique induit aussi de nouveaux usages, plus responsables. C’est pourquoi nous n’étions pas favorables au recours à des systèmes automatiques qui, par définition, tendent à déresponsabiliser. Nous avions envie que les utilisateurs comprennent comment le bâtiment fonctionne et qu’ils se l’approprient en procédant eux-mêmes à l’ouverture ou à la fermeture de leur fenêtre, comme ils le feraient chez eux. Le fonctionnement étant particulièrement simple, notre effort pédagogique a davantage porté sur l’explicitation de nos choix : pourquoi le bâtiment est comme ceci et comme cela, pourquoi il n’y a pas de faux plafonds, pourquoi le béton est resté apparent, etc.

– Cela a par ailleurs supposé une découverte préalable du Plateau et de son potentiel au regard de l’architecture bioclimatique…

Uli Seher : Oui. Nous disposions pour cela de l’étude réalisée par l’équipe de Floris Alkemade. La principale particularité des sites est de se trouver sur un plateau exposé aux vents d’ouest (qui ont d’ailleurs déterminé l’orientation de l’aéroport d’Orly, tout proche). Cela pouvait être perçu comme une contrainte. Pour notre part, nous l’avons considéré comme une énergie gratuite et donc un atout. C’est grâce à lui que nous avons pu mettre au point notre système de ventilation. Il est clair que si les Digiteo Labs avaient été implantés dans une vallée, sans apport de vent donc, notre conception aurait été différente. L’architecture bioclimatique nous fait ainsi renouer avec un principe fondamental de l’architecture : trouver une réponse adaptée au site et au contexte donné.

– Quid des serveurs, qui dégagent par définition de la chaleur ?

Un serveur en dégage effectivement beaucoup. Nous aurions pu les regrouper, mais telle n’était pas la volonté des maîtres d’ouvrage, probablement pour des raisons de confidentialité. Il nous a donc fallu prendre en compte leur présence dans les pièces individuelles. D’où l’importance des lieux de rencontres informels, pour établir des relations de confiance, qui permettraient ensuite, on l’espère de passer à l’étape suivante, partager un même serveur… De là aussi, la nécessité de bâtiments à taille humaine.

– Et l’ensoleillement ?

Agnès Bertholon : C’est un autre moteur de la ventilation. La régulation se fait au moyen de brises soleil et de fenêtres qu’on peut ouvrir manuellement. Grâce à ces deux moteurs – l’ensoleillement et le vent -, on assure une ventilation des différents espaces en évitant l’air conditionné, du moins en dehors des espaces communs appelés à accueillir du monde comme la grande salle de conférence. En raison, des allées et venues en nombre, une assistance technique devient indispensable.

– Et les ressources hydrauliques ?

Uli Seher : C’est encore une autre ressource précieuse pour notre architecture bioclimatique. Dans le projet d’extension du bâtiment de Palaiseau, nous comptons l’exploiter pour le rafraîchissement global. Un système similaire à la ventilation pompera l’eau à travers des dalles dont l’inertie permettra de restituer une fraîcheur à l’intérieur du bâtiment. Cette ressource permettra de limiter au minimum le recours à des dispositifs techniques coûteux, qui exigent de l’entretien tout en causant des nuisances sonores.

– Des équipes ont déjà investi les lieux, plusieurs mois avant leur inauguration. Avez-vous eu le temps d’observer comment, justement, ces espaces ont été appropriés ?

Uli Seher : Il semble que les usages correspondent à 95% à notre conception du bâtiment. Reste 5% qui n’avaient pas été forcément prévu comme, par exemple, la disposition d’une photocopieuse à tel ou tel endroit. Comment peut-il en être autrement ? Il est normal que les usagers s’approprient le lieu qui leur est destiné.

Agnès Bertholon : Nous avons pu relever quelques ajustements à apporter comme, par exemple, la cafétéria, qui se révèle être plus utilisée que prévue. Je crois utile de renforcer l’insonorisation avec des plafonds acoustiques sous l’escalier principale. Par exemple, les couleurs ont été élaborées par un polycoloriste. Le mobilier a été directement choisis par les utilisateurs. Nous ne sommes pas intervenus. Manifestement, ils en sont très satisfaits.

– D’un côté, ce sont des lieux conçus pour favoriser échanges informels. De l’autre, des barrières en contrôlent l’accès… Comment gérez-vous cette apparente contradiction entre ouverture/fermeture ?

Agnès Bertholon : C’est effectivement une contradiction. L’accès au grand hall est limité par une barrière à portillons dont l’ouverture est contrôlée. Nous avons obtenu d’en réduire la taille. Les battants des tourniquets sont de surcroît en verre, ce qui les rend plus discrets.

– A vous entendre, les Digiteo Labs sont une illustration du fait que l’architecture peut être en phase avec la dynamique d’innovation inhérente au projet du cluster…

Uli Seher : Encore nous fallait-il avoir des maîtres d’ouvrage suffisamment ouverts. La réglementation française est restrictive au point de privilégier les solutions technologiques. Notre démarche empruntait une autre voie et faisait donc courir un risque à nos maîtres d’ouvrages. Ils se sont laissés convaincre par les arguments de Transsolar, en prenant le temps de visiter une de ses réalisations, aux Etats-Unis, lors d’un voyage d’études.

– Trois bâtiments au lieu d’un. Cela semble cependant aller à l’encontre du principe de mutualisation…

Uli Seher : Certes, la concentration de l’ensemble des personnels, soit un millier de personnes, aurait permis des économies d’échelle et c’est d’ailleurs l’argument qui est le plus souvent invoqué pour justifier cette concentration, que l’on observe notamment dans les établissements hospitaliers. Mais, force est de constater qu’au-delà d’une certaine échelle, les dysfonctionnements se multiplient. Il suffirait de poser la question aux personnels de ces centres hospitaliers pour s’en convaincre. Personnellement, je ne suis pas convaincu de la nécessité de concentrer à tout prix. L’architecture bioclimatique exige d’ailleurs de travailler à des échelles humaines, ne serait-ce que pour que la concentration des personnes, les allées et venues, ne perturbent pas des systèmes de bon sens.

– Comment avez-vous pris en compte ce parti pris pour favoriser les rencontres et les échanges entre les équipes des différents bâtiments, au-delà de la sociabilité interne ?

Uli Seher : Rien n’empêche d’imaginer des systèmes de mobilité pour favoriser la circulation d’un bâtiment à l’autre. Il a été question d’installer l’équivalent de Vélib’ sur les différents sites. C’est une piste qui mérite d’être creusée. Quand le concours d’architecture des Digiteo Labs a été lancé, nous étions dans un contexte encore à dominante rurale. Aujourd’hui, ce territoire est appelé à s’organiser autour de densités, en nappes urbaines, qui vont nécessairement induire des solutions novatrices dans le domaine des mobilités ou d’autres encore.

– A quel autre domaine songez-vous ?

Uli Seher : Rappelons que le Campus de Paris-Saclay ne vise pas une densification de l’ensemble du territoire, mais la combinaison de quartiers dans un immense parc intégrant des surfaces agricoles. Une prochaine étape pourrait donc consister à assurer une alimentation locale. Un thème auquel notre agence est particulièrement sensible. Elle travaille en effet depuis des années sur l’interface urbain/rural. Force est de constater que les franges de ville sont de vrais lieux d’innovation pour une agriculture raisonnée. Pourquoi un campus comme Paris-Saclay, à la fois urbain et rural, ne contribuerait-il pas à réfléchir à de nouveaux modes de production et d’alimentation ? Notre génération d’urbanistes et d’architectes avons la responsabilité d’être attentifs à ces enjeux et de formuler des propositions concrètes.

Sylvain Allemand
Sylvain Allemand

Journaliste

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