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Coopération, conflictualité, proximités… Les ressorts du développement territorial

Le 20 septembre 2024

Entretien avec André Torre, chercheur à AgroParisTech / Université Paris-Saclay

Nous avons déjà eu l’occasion de l’interviewer du temps où il dirigeait la MSH de Paris-Saclay. Depuis, il est devenu président de l’Inrae de Corse, mais sans avoir rompu ses liens avec l’écosystème Paris-Saclay : il est toujours chercheur à AgroParisTech et, à ce titre, rattaché à l’Université de Paris-Saclay. Nous avions donc de bonnes raisons de prendre de ses nouvelles en saisissant cette opportunité pour connaître sa perception de l’écosystème depuis l’Île de Beauté. Son actualité de chercheur nous a incités à le faire plus tôt que prévu : elle a été marquée par la remise de pas moins de trois prix ou distinctions, à commencer par un prix récompensant ses travaux sur le rôle de la coopération mais aussi de la conflictualité dans les dynamiques de développement régional…

- Pour commencer, pouvez-vous donner de vos nouvelles, nous dire quels types de recherche vous menez dans le cadre de l’Inrae de Corse que vous présidez depuis 2021 ?

André Torre : Bien évidemment, c’est une tout autre approche du développement territorial que celle de Paris-Saclay, qui est promue ici, à l’Inrae de Corse : nous nous attachons à développer une agriculture dynamique et de nouveaux produits alimentaires, à commencer par de nouvelles mandarines et clémentines – la Corse compte la plus grande exploitation et collection d’agrumes d’Europe, la 2e du monde après celle de Riverside, dans le comté de Californie. Et notre Inrae est à la pointe de l’innovation variétale sur les agrumes – les clémentines aussi bien que les cédrats et les citrons. À quoi s’ajoutent des filières de productions alimentaires plus locales : des fromages, de la charcuterie, de la farine de châtaigne… Soit des produits plus difficiles à exporter, mais qui n’en ont pas moins un fort impact sur nos paysages.
Je retrouve ainsi deux facettes bien connues du développement territorial avec, d’une part, une agriculture dynamique, à forte valeur ajoutée et tournée vers l’export, grâce au développement de nouvelles variétés, d’autre part, une agriculture reposant davantage sur des productions à petites échelles et plus traditionnelles, et à ce titre exposée à plus de difficultés.

- Comme on l’imagine, ce sont des problématiques qui amènent l’économiste que vous êtes à travailler avec des acteurs du territoire…

A.T. : En effet, toutes les recherches que nous menons à l’Inrae le sont en relation avec les agriculteurs et producteurs locaux. À titre d’exemple, nous nous apprêtons à lancer une nouvelle variété d’agrume – une mandarine de printemps qui pourra s’intercaler entre la clémentine d’hiver et le pomelo d’été. Un enjeu majeur s’il en est pour la filière car cela signifie la possibilité de commercialiser un troisième fruit, qui pourra bénéficier éventuellement d’une AOC – Appellation d’Origine Contrôlée. Nous procédons pour cela à ce qu’on appelle de la « sélection participative », consistant à choisir la nouvelle variété, à en définir les caractéristiques, mais avec les acteurs de la filière.
Voici un autre exemple. Il concerne cette fois la châtaigne, qui fut longtemps la principale source d’alimentation des habitants de l’île – on surnommait d’ailleurs le châtaigner « l’arbre à pain ». À partir des années 2010, les châtaigneraies de l’Île ont été en grande partie décimées par un coléoptère, le Cynips. Depuis quelques années, la production repart sous l’effet de mesures qui ont été mises en œuvre en partenariat avec les acteurs de la filière, en intégrant jusqu’aux aspects touchant au paysage, à l’entretien des parcelles. Il s’agit maintenant de la protéger contre de nouveaux risques d’attaque, mais aussi de lui donner sa place dans l’écosystème local, dans les paysages et avec sa dimension touristique. C’est l’enjeu de nos recherches actuelles
De manière plus générale, cette recherche partenariale est typique de la recherche promue par l’Inrae ; elle s’inscrit dans le prolongement de ce que j’ai pu faire moi-même dans le cadre des programmes PSDR (Pour et Sur le Développement Régional), que j’ai dirigés entre 2008 et 2020 : ils promouvaient déjà des recherches qui pouvaient profiter au développement des territoires ruraux et à leur activité de production agricole et alimentaire.

- À vous entendre, vous êtes pleinement investis dans vos responsabilités. Est-ce à dire que vous avez tourné la page « Paris-Saclay » ?

A.T. : Non, et ce d’autant moins que statutairement parlant, je reste attaché à l’Université Paris-Saclay au titre de chercheur d’AgroParisTech. Quelque chose à quoi je tenais et qui a conditionné mon accord à prendre la présidence de l’Inrae de Corse. Si j’ai voulu rester rattaché à cette université, c’est que je considère que c’est mon université. C’est en son sein que j’ai monté les plus belles opérations de recherche de ma carrière, notamment dans le cadre de l’UMR SADAPT (pour Sciences pour l’action et le développement : activités, produits, territoires).

- Je ne résiste donc pas à l’envie de vous demander comment vous avez réagi à la publication des nouveaux résultats du classement de Shanghai qui place désormais l’Université Paris-Saclay à la 12e place, soit une progression de deux places par rapport à l’édition précédente. Est-ce cette attractivité internationale qui motive votre attachement ? Si oui, que dites-vous à ceux qui mettent en doute la rigueur de ce classement ?

A.T. : Pour répondre à cette question, j’userai d’une métaphore footballistique : le classement de Shanghai, c’est en effet un peu comme un match de foot. Il y a des règles plus ou moins contraignantes (à commencer par celle de ne pas toucher le ballon avec la main, sauf à être le goal) et on joue en connaissance de cause de ces règles. Le classement de Shanghai, ce n’est pas autre chose : ce sont des règles, sinon des critères, connus de tous et qu’il faut remplir pour être en haut du classement. Cela étant posé, on peut considérer que l’Université Paris-Saclay réalise une vraie performance et qu’elle récolte les fruits du travail accompli par sa première présidente, Sylvie Retailleau, que je tiens à féliciter au passage. Certains critères peuvent être discutés – ils se préoccupent plus de la qualité de la recherche et des publications que de la formation des étudiants eux-mêmes ; ils privilégient les sciences exactes et du vivant sur les sciences humaines et sociales, etc. Je n’en suis pas moins fier de faire partie d’une université qui se trouve au 12e rang d’un classement qui ne recense pas moins d’un millier d’universités dans le monde. Je vous prie de croire que cela n’est pas sans incidence sur la manière dont nous autres chercheurs et enseignements chercheurs de cette université sommes perçus par les collègues étrangers croisés lors de colloques internationaux.
Plutôt que de dénigrer le classement de Shanghai, je serais plus favorable à ce qu’on croise les classements existants – il en existe de nombreux tout aussi réputés. Car, bien évidemment, celui de Shanghai ne saurait être le seul outil pour évaluer une université ni dissuader d’imaginer des classements alternatifs sinon complémentaires. À cet égard, je note avec intérêt l’initiative de Cairn qui permet de rendre plus visible les publications en sciences humaines et sociales – il se base pour cela sur la fréquence des lectures dont elles font l’objet à travers cette plateforme.

- Venons-en à votre propre actualité marquée par plusieurs prix et distinctions qui vous ont été discernés. Commençons par celui qui vous a été remis pour vos travaux de recherche sur le développement territorial : le prix international du développement local et territorial, remis tous les six-sept ans par un jury d’experts. De prime abord, pouvez-vous nous dire quelle a été votre première réaction, ce qu’un tel prix représente pour vous ?

A.T. : Je suis particulièrement heureux d’avoir reçu ce prix–ci car s’il est bien une question qui m’a taraudé et qui l’aura fait tout au long de mon existence, en tant que Corse en particulier, c’est bien celle du développement territorial. Pourtant, longtemps, je n’ai pas osé l’aborder en tant que chercheur, considérant que je n’étais pas suffisamment outillé, qu’il me fallait encore me doter d’outils théoriques, analytiques ou encore faire de la recherche de terrain pour en comprendre les ressorts. Je n’ai commencé à le faire qu’à partir du début des années 2010. Avant ça, j’ai fait pas mal de terrain. Je me suis notamment intéressé à la technopole de Sophia Antipolis, où j’ai commencé ma carrière, en mettant en évidence le rôle de la gouvernance et de l’innovation technologique avant de m’attacher à montrer que d’autres formes de développement territorial étaient possibles selon les territoires. Qu’il revenait donc à chacun d’eux de promouvoir son propre développement selon ses ressources, son histoire, sa géographie, en un mot son idiosyncrasie. Bien sûr, les uns et les autres peuvent s’inspirer de ce qui se fait ailleurs, mais en se gardant de chercher à le reproduire à l’identique. Il n’y a pas de modèle qui s’imposerait à tous. D’où le juste équilibre à trouver entre l’approche théorique et l’approche de terrain. C’est tout le défi, mais aussi tout l’intérêt de cette recherche sur le développement territorial. Je lui ai consacré plusieurs ouvrages et articles, qui ont eu des échos, dans le monde francophone, d’abord, puis dans le monde anglo-saxon. Ce qui me vaut aujourd’hui ce prix décerné par mes pairs.

- Un mot sur ce qui m’apparaît comme votre valeur ajoutée dans cette analyse du développement territorial, à savoir ce souci de ne pas l’idéaliser ou à tout le moins l’enjoliver, en prenant notamment en considération les formes non seulement de coopération, mais aussi de conflictualité qui peuvent se manifester sur un territoire…

A.T. : En effet, et c’est précisément mon expérience du terrain qui m’a permis de prendre la mesure de cette conflictualité. Au début, dans mes travaux sur Sophia Antipolis, je m’attachais à mettre en évidence les formes de coopération, en l’occurrence entre les entreprises innovantes et les laboratoires de recherche. Puis, en découvrant d’autres terrains, dans le cadre notamment du programme des programmes PSDR, je me suis aperçu que la dimension conflictuelle était également déterminante. À trop encenser le développement territorial, on risquait de l’ « enjoliver », comme vous dites, d’en avoir une vision irénique. Il fallait au contraire prendre en compte ces deux dimensions à la fois, coopérative et conflictuelle. Elles vont de pair : même si le conflit peut être fécond en soi, la conflictualité sans coopération finit par empêcher tout développement territorial. Mais à trop chercher à éviter le conflit, à ignorer la conflictualité, il est peu probable qu’on y arrive aussi. Or, c’est souvent ce qui manque aux approches théoriques, faute de se confronter à la réalité du terrain, à ce que cette réalité peut avoir d’humain, de social, de politique…

- Votre nom est aussi associé à la notion de « proximité » à laquelle vous vous êtes intéressé au point d’avoir contribué à créer une « école » autour de cette thématique. N’est-ce pas une autre valeur ajoutée de votre approche du développement territorial ?

A.T. : Bien plus, c’est, comme je crois pouvoir le dire, le fil rouge de ma carrière de chercheur. Je m’y suis intéressé dès le début des années 1990 et jusqu’à aujourd’hui. Sans pour autant l’ériger comme une vertu cardinale, car j’ai pu assez vite constater que la seule proximité géographique ne suffisait pas. Aujourd’hui encore, beaucoup parmi les économistes considèrent qu’il suffit d’agréger des entreprises, des laboratoires, des start-up, autrement dit de constituer des clusters, de concentrer des moyens à un seul et même endroit, d’y construire des infrastructures, des équipements, pour enclencher une dynamique de développement territorial. En réalité, ce n’est pas aussi simple. Il faut aussi, y compris à un échelon local, ce que j’appelle des « proximités organisées » – des relations humaines, des interactions, une culture commune, un sentiment d’appartenance à une même communauté, des acteurs ayant fréquenté les mêmes lieux, etc. Des proximités organisées qui n’excluent pas ce que j’appelle par ailleurs des « proximités à distance », rendues possibles par les nouvelles technologies de l’information et de la communication : internet, Zoom et autre Team. Chacun peut en témoigner : il est possible de collaborer avec des personnes qui se trouvent à d’autres endroits. Ces deux formes de proximité ne s’opposent donc pas, mais se complètent. Elles constituent ma clé de lecture du développement territorial et de bien d’autres enjeux.

- Une réalité dont vous apportez une démonstration vivante, en présidant l’Inrae de Corse tout en restant attaché à l’Université Paris-Saclay ! Encore un mot sur le cluster de Paris-Saclay : dans quelle mesure illustre-t-il votre approche du développement territorial entre coopération et conflictualité, sans oublier les formes de proximité que vous venez d’évoquer ?

A.T. : Je connais bien ce cluster pour avoir dirigé la Maison des Sciences de l’Homme Paris-Saclay, entre 2017 et 2019. Ma chance aura ainsi d’avoir assisté, au cours de ma carrière de chercheur, à la naissance de deux clusters d’importance, comme spectateur avant d’en être très vite acteur. J’ai en effet connu Sophia Antipolis du temps où il y avait encore beaucoup de pinèdes (rire), puis plus tard, celui de Paris-Saclay. Ce dont je n’avais bizarrement pas pris conscience jusqu’à ce que vous me sollicitiez pour cet entretien. Naturellement, ils sont très différents, mais j’y retrouve quand même une caractéristique commune, à savoir leur temporalité. L’un comme l’autre s’inscrivent dans le temps long. De fait, on ne crée pas de clusters et d’écosystèmes – de technopoles comme on disait dans les années 1970-80 – du jour au lendemain. Cela exige des années voire des décennies d’effort, d’investissements matériels, financiers et humains. Ce n’est que depuis quelques années qu’on peut dire que Sophia Antipolis fonctionne – près de 50 000 chercheurs et ingénieurs y travaillent. Le lancement de l’OIN Paris-Saclay – un projet encore plus ambitieux en termes de taille, d’effectifs de chercheurs, d’ingénieurs, d’étudiants, de nombre de laboratoires, de centres de R&D – est plus récent. Nous en sommes encore à la phase de construction. Manière de dire qu’on ne peut avoir de jugement définitif à son sujet. Il faut lui laisser le temps de créer les synergies. Nul doute que l’arrivée de la Ligne 18, en 2026, marquera une étape décisive.

- Force est de constater déjà l’émergence d’une communauté d’hommes et de femmes – chercheurs, ingénieurs, startuppers, investisseurs, étudiants -, qui se manifeste notamment à l’occasion des grands événements qui jalonnent l’actualité de l’écosystème (dont Paris-Saclay SPRING, TEDxSaclay…). Tant et si bien que si l’écosystème est encore en phase de construction, n’empêche, il s’incarne déjà à travers cette communauté, particulièrement diverse au regard des disciplines et des professions qu’elle croise…

A.T. : Je peux en témoigner aussi : cette communauté existe et je pense pouvoir dire que la MSH Paris-Saclay a contribué à son émergence à travers ses appels à projets pour lesquels nous avions fixé deux conditions : que les projets qui nous étaient soumis associent au moins deux institutions de Paris-Saclay et deux disciplines. Une manière d’inciter les chercheurs à tisser des liens avec des chercheurs d’autres laboratoires, tout proches ou éloignés. Avec le recul, on peut considérer que ces appels à projets ont produit leurs effets, comme ces événements que vous évoquez. Les uns et les autres ont un effet inducteur, qui soutient la dynamique d’ensemble. La proximité géographique, même temporaire, joue pleinement son rôle. Nous ne le dirons donc jamais assez : les investissements dans les infrastructures ne suffisent pas, encore faut-il que les gens se rencontrent, tissent des liens, apprennent à collaborer ensemble, à saisir les opportunités qui se présentent, à commencer par la rencontre avec des partenaires potentiels. Il importe aussi qu’il y ait des médiateurs qui, inlassablement, créent des conditions favorables à travers des événements, des conférences, des salons professionnels, ou des rencontres informelles.

- Un mot sur les deux autres récompenses qui vous ont été décernées - le Top Scholar du ScholarGPS pour le taux de citation de vos publications, et le Kohno prize…

A.T. : Ces récompenses sont de nature différente de la première. Le Kohno prize est décerné à des chercheurs qui se sont investis pour développer la recherche (en science régionale, en géographie, etc.) au plan international. Pour ma part, j’ai été Président de l’Association Française de Sciences Régionales de Langue Française entre 2008 et 2011. Entre 2019 et 2024, j’ai présidé l’European Regional Science Association, qui rassemble les scientifiques travaillant en Europe sur les questions de développement des territoires.
L’autre récompense se base sur d’autres critères : le nombre de citations dont le chercheur fait l’objet. Je fais désormais partie des 0,5% des chercheurs les plus cités dans le monde. Le classement est ensuite précisé selon la thématique : je suis en 29e position sur la thématique de l’espace rural, toutes dimensions confondues ; 4e en économie rurale… Autant le dire, longtemps, je ne me suis pas intéressé à ce genre d’évaluation, jusqu’à ce que la cinquantaine passée, je me rende compte que cela avait une réelle incidence sur l’audience de travaux de recherche au plan international. D’autant que, comme je devais le découvrir, si mes travaux francophones étaient parfois cités, ce sont d’abord ceux qui me citaient qui apparaissent en haut du classement ! Un constat qui vaut d’ailleurs pour beaucoup de chercheurs francophones, moins sensibilisés que les anglophones à ce type de classement. J’ai donc appris à publier à l’international – je dis bien « appris », car c’est bien une affaire d’apprentissage -, en n’hésitant pas à co-publier avec d’autres auteurs. Le fait de figurer dans le Top Scholar, je le vis comme une reconnaissance de cet investissement dans le travail de publication dans des revues internationales.

- Que dites-vous à ceux qui objecteraient le risque de faire de la citation la finalité de la recherche académique ?

A.T. : Ce risque existe effectivement. Le fait d’être cité à l’international n’est qu’un aspect de la recherche académique et de sa valorisation. J’estime que tout chercheur français devrait être capable de publier en France, pour être lu dans le monde francophone, mais également être publié, lu et cité en anglais, tout en cultivant une approche de terrain et en menant des enquêtes – c’est indispensable dans un domaine comme la science régionale. D’ailleurs, la plupart des mes travaux les plus cités décrivent des expériences de terrain – ils peuvent traiter aussi bien d’agriculture périurbaine, que de méthanisation en Île-de-France, de problématiques agricoles dans le Nordeste brésilien, de construction de barrages au Pakistan, etc. Autant d’analyses empiriques, dont j’extrapole des enseignements utiles à d’autres contextes territoriaux.
Depuis, je m’emploie à faire profiter de cet apprentissage à mes jeunes collègues à travers notamment mon autre engagement comme rédacteur en chef d’une Revue d’Économie Régionale et Urbaine, ou en ayant incité ceux engagés dans les projets des programmes PSDR à publier les résultats de leurs travaux de recherche.

Sylvain Allemand
Sylvain Allemand

Journaliste

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