En novembre 2019, la MSH fêtait ses cinq ans. Nous ferons écho à cet anniversaire à travers une série d’entretiens avec deux de ses anciens directeurs et quatre de ses chercheurs. Tous témoignent à leur manière que l’ambition de la nouvelle institution d’œuvrer à une interdisciplinarité forte entre sciences exactes et sciences de l’ingénieur, d’une part, sciences humaines et sociales, d’autre part, sans oublier la recherche dans les arts, n’a pas été un vain mot.
En cinq ans d’existence, la MSH Paris-Saclay s’est imposée dans le paysage académique Paris-saclaysien et même au-delà, en contribuant à une interdisciplinarité forte, entre sciences exactes et sciences de l’ingénieur, d’une part, sciences humaines et sociales, d’autre part, sans oublier les recherches dans le domaine artistique. Et ce, à travers notamment différentes catégories d’appels à projet, les uns liés à un événement scientifique (appels « Workshops » et « Séminaires »), les autres, à une recherche (appels « Emergence », « Maturation » et « Excellence »).
En janvier 2019, nous interviewions le 3e directeur, André Torre, arrivé depuis au terme de son mandat (pour accéder à cette interview, cliquer ici).
Dans les prochaines semaines, nous vous proposerons six autres entretiens, avec :
– ces deux prédécesseurs : Claude Didry, historien (cliquer ici), et Stefano Bosi, économiste (mise en ligne à venir) ;
– quatre chercheurs ayant été lauréats d’appels à projets : Antonio Casilli, Maître de conférences à TélécomParis, chercheur à l’i3-DSES (mise en ligne à venir) ; Romain Melot, Directeur de recherche Inra/AgroParisTech à l’UMR SAD-APT, codirecteur de l’équipe Proximités (cliquer ici) ; Ioana Vasilescu, Chargée de recherche CNRS au Limsi (mise en ligne à venir) et Célia Zolynski, Professeure des universités à l’Université Panthéon-Sorbonne (cliquer ici).
A bientôt, donc.
Journaliste
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