Rencontre avec Saranne Peythieu, bénévole à TEDxSaclay
Suite et fin (provisoire !) de nos échos à la sélection de deux des intervenants à la prochaine édition de TEDx Saclay avec, cette fois, le témoignage de Saranne Peythieu, qui a rejoint l’équipe pour faire profiter de ses compétences en matière de communication.
– Si vous deviez vous présenter en quelques mots…
Je m’appelle Saranne (une contraction de Sarah et d’Anne). J’ai fini mes études récemment non sans avoir changé de voie à plusieurs reprises. J’ai commencé dans la finance avant de m’orienter vers la communication. Je rejoins tout prochainement la direction de la communication d’EDF pour quelques mois, à Paris. Auparavant, j’ai traversé une période de chômage, qui a été l’occasion de rencontrer toutes sortes de gens. Assya Van Gysel appelle cela « la synchronicité ». C’est d’ailleurs ainsi que je l’ai rencontrée : j’avais soumis ma candidature à Séverine Alfaiate, ancienne directrice de communication de la ville d’Orsay, qui, à défaut de m’embaucher, m’a présenté Assya, dans la perspective de la préparation de TEDx Saclay.
– En connaissiez-vous le principe ?
Oui. J’ai découvert mon premier talk TEDx il y a trois ans. Je me souviens très bien du choc que cela avait provoqué en moi ! Je m’étais immédiatement promis de travailler un jour à l’organisation de ce genre d’événement. J’ignorais en revanche que le prochain TEDx Saclay se déroulerait à EDF Lab Paris-Saclay. Une autre manifestation de synchronicité !
– En quoi consistera votre rôle ?
Il sera de contribuer à la communication autour de l’événement. Je participe déjà à la réalisation d’une Web série en forme de micro-trottoir. Nous avons demandé à des gens de dire ce que signifiait pour eux d’aller « au-delà des limites », le thème de la prochaine édition du TEDx Saclay. Nous tablons aussi sur le buzz autour de la sélection de deux des intervenants [Pauline Maisonnasse et Andreï Klochko], qui vient de se dérouler au PROTO 204. Sans compter les relations presse auxquelles je participerai aussi. Bref, ce n’est pas le travail qui va manquer !
– Connaissiez-vous l’écosystème de Paris-Saclay ?
J’en avais juste entendu parler par le truchement d’un beau-frère qui travaille sur le territoire. Autrement, non. Résidant à Viroflay et ayant fait mes études en dehors de cet écosystème, je ne m’étais pas sentie plus concernée que cela. Mais en à peine un mois, j’ai pu prendre la mesure du dynamisme de ce territoire et du rôle qu’y joue en particulier mon nouvel employeur, à travers notamment EDF Lab Paris-Saclay. A l’évidence, quelque chose d’original est en train de sortir de terre, très différent de ce qu’on peut vivre à Paris, tout en en restant proche. Personnellement, je m’y sens très bien.
– Et le PROTO 204, que vous a-t-il inspiré ?
C’est un lieu original, qui m’a plu instantanément. On s’y sent comme chez soi et pas seulement à cause du mobilier cosy. C’est un lieu qu’on devine aussi ouvert sur le territoire : on y rencontre des gens très différents. J’aime bien l’ambiance à la fois studieuse et décontractée qui y règne. C’est un lieu de connexion, accueillant et sans chichi.
A lire aussi : les entretiens avec Assya Van Gysel (cliquer ici), Pauline Maisonnasse (cliquer ici) et Andreï Klochko (cliquer ici)
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